Exposition L’Art du Graffiti, 40 ans de Pressionnisme

Publié le : 27 décembre 20184 mins de lecture

http://www.monaco-graffiti.com

L’exposition

L’exposition L’Art du Graffiti : 40 ans de Pressionnisme, forte de la qualité et de la rareté de ses collections, à la fois historiques et stylistiques, crée cet été l’événement : 40 000 visiteurs attendus sur plus de 2000 m² dans les espaces Diaghilev, Nijinski et 1200 m² d’espace donnant sur mer. Elle offre un panorama international et historique de l’Art du Graffiti au travers de 3 collections principales : Amour, Vintage et Rammellzee et propose également aux visiteurs d’entrer dans le processus créatif des artistes, du carnet d’esquisses à l’œuvre finalisée.

  • Collection Amour : Elle rassemble pour la première fois plus de 350 tableaux commandés aux plus grands artistes internationaux dans une triple unité de réalisation : lieu, format et thème. Vous y retrouverez les grands pionniers américains (Taki 183, Quik, Seen, Mode 2…), la vague européenne (Ash, Bando, Jay One…) ainsi que les nouveaux talents de tous les continents. Dal, -Chine-, Ais lap -Colombie-, Mizer -Russie-…)
  •  Collection Vintage : Un florilège d’une trentaine de toiles d’époque (Ali, Futura 2000, Phase 2…), la plupart inédites, illustrant l’évolution des styles et des courants des premières recherches calligraphiques sur toile.
  • Collection Rammellzee : Une dizaine de toiles de 1985 à nos jours. En hommage à un des plus grands artistes décédé en 2010 et aux « Hollywood  Africans », regroupant Rammellzee, J.M. Basquiat et Toxic.

A ces trois collections principales s’ajoutent des œuvres, prêtées notamment par Loïc Lefloch, Henry Chalfant et Martha Cooper, alliant tableaux, photos et esquisses préparatoires. Elles permettent de s’initier à la qualité graphique et à la technique d’élaboration des œuvres présentées.

Les pressions, de la bombe, de la rue, des artistes entre eux, de la société et du public, définies par certains artistes comme à la source de la puissance et de l’énergie de leurs réalisations, ont conduit à nommer « Pressionnisme » ou « Pressure Art » ce mouvement pictural sur toile, désormais inscrit dans l’histoire de l’Art.

A-D. Gallizia, collectionneur et curateur

Architecte, sa passion pour l’Art du Graffiti remonte à sa rencontre avec des artistes travaillant sur les palissades de ses chantiers. Un engagement réciproque naît de leur dialogue : les artistes acceptent de venir peindre des tableaux dans l’atelier mis à leur disposition à Boulogne-Billancourt, la Ruche du Tag. En échange, Alain-Dominique Gallizia s’engage à conserver leurs œuvres et révéler leur talent au public dans les lieux d’exposition les plus prestigieux et les musées.

«Cette exposition nomme et donne pleine reconnaissance au Pressionnisme (Pressure Art), Art pictural majeur de la fin du XXe  et du XXIe siècles » A-D Gallizia

Reconnaissance du graffiti : actions et générosité

Fidèle à son engagement philanthropique, Alain-Dominique Gallizia œuvre à la découverte de ces artistes, de cet Art et à sa reconnaissance internationale.

  • Grand Palais, Paris, avril/mai 2009 : exposition de la collection Amour, 80 000 visiteurs en un mois (www.tagaugrandpalais.com).
  • Palais de Tokyo, Paris, février 2010 : exposition (5000 visiteurs) et vente au profit de l’association SOS Racisme avec Pierre Bergé.
  • Avenue de Wagram, Paris, avril 2010 : « Musée à ciel Ouvert » et vente au profit de l’association Paris Tout P’tits avec Laurent Dumas.
  • Palais d’Iéna, Paris, février 2010 : exposition et vente au profit de l’association SOS Racisme avec Pierre Bergé.
  • Bal de la Croix-Rouge, Monaco, 5 août 2011 : don d’une toile au profit du gala de bienfaisance de la Croix-Rouge Monégasque.

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